Samedi 25 octobre dernier de drôles de machines avaient pris place à Lucien rose.
Arthur Giguelay, bénévole au fablab de Rennes est venu à l’occasion d’une carte blanche pour nous présenter des fabrications numériques.
Le Fablab est un laboratoire, ou tout le monde peut venir fabriquer des objets numériques bénévolement. Un lieu d’essai, d’innovation et de partage.
Cette carte blanche a permis de faire connaissance avec :
Une imprimante 3D :
Fabriquée par Arthur Giguelay à base d’objets de récupérations et d’éléments imprimés en 3D.
Une imprimante qui a la particularité « d’imprimer » des objets en 3D avec du plastique. Un programme permet de faire des plans de ce que l’on veut faire et d’en imprimer le contenu en « réel ».
Un Makey – Makey :
Le makey-Makey ou l’art de connecter des objets à un ordinateur. Deux étudiants du MIT (Massachusetts Institute of Technology) ont inventé cette carte électronique qui permet de connecter ce que l’on souhaite, du moment que l’objet est conducteur, à un ordinateur. Ainsi, en utilisant le Makey-Makey et de simples pinces croco vous pouvez connecter, par exemple, une banane à qui l’on attribuera une fonction du clavier.. Ainsi vous pouvez laisser aller votre créativité, dans le cas présent Léa Lacroix nous propose un piano banane. Un piano gouteux, qui comme vous vous en doutez a amusé les plus petits.
Un tweetbeat
Encore une fois Arthur Giguelay a joué d’ingéniosité et de débrouillardise pour confectionner une machine faite en récup et en éléments imprimés en 3D. Le tweetbeat est une machine assimilée à une sorte de sismographe le tout relié à un ordinateur. Elle s’agite en réaction de ce qui se passe en ligne en temps réel. Plus un mot est utilisé dans les tweets plus le sismographe s’agite, une manière visuelle de connaitre la popularité d’un tweet.
Pour résumer, c’était une rencontre pleine de surprises et d’innovations. Interpelé par ces étranges machines, plusieurs personnes, tout âge confondu, ont passé un petit moment en compagnie d’Arthur Giguelay pour en savoir plus.
Une réflexion au sujet de « La fabrication numérique »